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20 Mai 2010 Votre vélo est-il bien équipé ?
10 Mai 2010 Info envoyée par Béa mais non confirmée ni constatée par le webmaster :
FRANCIS PELISSIER TROP FORT Lors d' un
Paris-Dijon, Francis Pélissier avait tellement d'avance que, à son arrivée au
vélodrome bourguignon, il trouva porte close. Alors qu'il cognait à la porte, un
gardien peu affable lui demanda ce qu'il voulait. Les incroyables du cyclisme : Sylvie Lauduique-Hamez METTRE LE NEZ A LA FENETRE C' est tester ses adversaires en se portant en tête de la course ou en plaçant quelques accélérations afin d' évaluer leurs forces et leurs faiblesses et juger, donc, de l' opportunité de les attaquer. Mais par extension et comme dans le langages courant, cette expression a pris le sens plus général de "se manifester", donc, de se déplacer en tête de la course, tout simplement( et aujourd'hui, pour sans doute aussi se montrer aux caméras de la télévision ....) 14 Avril 2010 LE VENT RELATIF
Le vent relatif que fabrique le
cycliste est celui de sa propre vitesse. Vous pouvez le sentir lorsqu'un
cycliste vous frôle. Vous pouvez également le sentir lorsqu'un cycliste plus
rapide vous dépasse -on dit- "se faire enrhumer" Besoin de vélo : Paul Fournel
06 Avril 2010 ASTIQUER LES RIVETS DE SELLE Lorsqu’il est très fatigué ou lorsqu’il produit un effort violent et soutenu, le coureur a tendance à s’avancer sur la selle et à se poser sur les rivets de cuivre qui, à l’avant, servent à fixer le cuir sur son support ; on dit alors qu’il les fait briller, qu’il les astique, par le frottement qu’il exerce sur eux. Cette métaphore s’applique tout naturellement au coureur à la peine qui reste assis à l’avant de la selle de son vélo. Aujourd’hui, dans les compétitions cyclistes, les selles sont en matière synthétique et les coureurs n’en astiquent plus les rivets qu’au sens doublement figuré. Scob-Rabindonne la variante : Etre/Se mettre sur les trois rivets ( voir Avoir la selle dans le trou du cul, Faire du bec de selle ) Expressions du cyclisme : Paul Fabre
01 Avril 2010 Les mésaventures du peloton : Le fruit défendu. Mort pour une pomme ou une poignée de cerises. Le 15 juin 1927, Ottavio Bottecchia, vainqueur de la Grande Boucle 1924 et 1925, ne finit pas le Tour d’ Italie. Il fut assassiné par un paysan qui décida de venger le forfait du pauvre Ottavio qui avait dérobé quelques fruits. Le criminel révéla son secret, sur son lit de mort, vingt et un an après…. Et la mort mystérieuse de Bottecchia trouva enfin son explication § A l’ époque, c’est vrai, les courses ressemblent plus souvent à Règlement de compte à OK Corral qu’à Pédale Douce. Sur le Tour de France 1938, le Marseillais Dante Gianello fut la cible d’une tentative d’empoisonnement. On retrouva 3 grammes de Strychnine dans son bidon. Heureusement, le Phocéen ne l’avala pas en entier ! L’ empoisonneur emporta son secret dans la tombe, car aussi stupéfiant que cela puisse paraître, aucune enquête ne fut ouverte
22 Mars 2010 Les surnoms Il ne suffit pas de se faire un nom, il est
aussi important de se faire un surnom. Le sobriquet est toujours
révélateur de celui qui s'en voit affubler.
Extrait " Les incroyables du Cyclisme " Sylvie Lauduique-Hamez |